• Les paroles du Ciel ne sont pas seulement des paroles (II)

     

     

    Dans une lettre du 26 décembre 1870, Mélanie Calvat, à qui la Vierge Marie est apparue sur la montagne de La Salette, explique de quelle façon les messages de la Sainte Vierge l’éclairaient :

     

    « Je suis une grande ignorante ; mais si j’étais une lettrée plus savante, je ne pourrais rien écrire des choses d’En-Haut, parce que les expressions des plus grands savants n’arrivent pas à l’ombre de la vérité des expressions dont on se sert là-haut pour se parler. Le langage d’En-Haut est un mouvement de l’âme, des souhaits de l’âme, des élans de l’âme ; et les yeux vifs de l’âme se comprennent.

     

    Donc je crois que si, ici-bas, nous voulions expliquer cela, nous n’y arriverions pas. Et moi surtout, vile poussière, je suis encore à naître pour parler de ces choses-là. Aimons le bon Dieu de tout notre cœur : voilà notre science et notre richesse. Oh ! il faut être fou de l’amour de Celui qui a été le premier fou d’amour pour nous... (...)

     

    Je trouve très difficile de pouvoir rendre une chose qui n’a pas de comparaison. Si, par exemple, je voulais expliquer comment je voyais la Sainte Vierge, j’entendais ses paroles, je voyais s’exécuter ce qu’elle disait en paroles, je voyais le monde entier, je voyais l’œil de l’Éternel ; c’était un tableau en action : je voyais le sang de ceux qui étaient mis à mort, et le sang des martyrs ; mais l’amour de cette douce Vierge s’étendait sur moi, il prenait la place de tout le reste, il me faisait fondre ; je ne pensais plus, je n’avais pas le pouvoir de faire une réflexion ; j’étais bien savante alors, je parlais, mais je ne parlais pas avec des parole ; et quand la douce Vierge marchait, elle n’eut pas besoin de me dire de la suivre, certes non ; je ne savais pas que j’étais, je ne pensais pas que j’avais des pieds pour marcher ; j’étais attirée ; j’étais collée à cette beauté ravissante : Marie !...

     

    Si je voulais, dis-je, expliquer tout cela, jamais, jamais je n’arriverais à dire la vérité... »

     

     

     

    Lettre de Mélanie à l’Abbé Félicien Bliard, le 26 décembre 1870 rapportée dans le livre Découverte du Secret de La Salette de l’Abbé Laurentin et du Père Corteville – Fayard 2002 – p. 216  Et aussi : L'Encyclopédie Mariale et www.notrehistoireavecmarie.com

    Prions : Je vous salue, Marie pleine de grâce ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amen.

     

     


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  • Les paroles du Ciel ne sont pas seulement des paroles (I)

     

     

     

    © Tylwyth Eldar, CC BY-SA 4.0, via Wikimedia Commons. Sanctuaire de Notre-Dame de La Salette

     

    Dans une lettre du 26 décembre 1870, Mélanie Calvat, à qui la Vierge Marie est apparue sur la montagne de La Salette, explique de quelle façon les messages de la Sainte Vierge l’éclairaient :

    « Il y a des personnes qui voudraient que la Vierge n’eût pas tant parlé. C’est dommage qu’elles soient avares envers une pauvre bergère qui désirait de tout son cœur que le monde entier eût vu et entendu tout ce qu’elle a vu et entendu pendant une demi-heure, parce que tout le monde se serait converti... Et ces personnes qui disent que la Sainte Vierge ne parle pas autant, auraient bien compris et mieux compris que ce qu’enseignent les livres, s’il y en a qui l’enseignent, c’est que les paroles du Ciel ne sont pas seulement des paroles : c’est-à-dire que la personne qui l’écoute ne s’arrête pas à la lettre, à la parole ; mais chaque parole se développe, et l’action future a lieu dans le moment, et l’on voit mille et mille fois plus de choses que ce que les oreilles entendent.

    On s’élève à une hauteur qui n’est pas le Ciel, et peut-être même qu’on ne change pas de place ; mais on voit et l’on entend tout, on comprend sans rien dire, et l’on s’oublie soi-même entièrement. Et, sans le vouloir, on entre dans l’esprit des tableaux qui sont exposés : c’est-à-dire que si c’est un tableau triste, on est triste, si c’est joyeux, on est joyeux, on en ressent de la joie. On voit des complots qui se font ; on voit des rois de la Terre, lesquels ont chacun plusieurs anges gardiens : on les voit s’agiter, faire, défaire ; on voit la jalousie des uns, l’ambition des autres, etc. Et tout cela dans une seule parole qui s’échappe des lèvres de celle qui fait trembler l’enfer, la Vierge Marie.

    Oui, si ces personnes avaient vu une seule fois quelqu’un du Paradis, elles ne diraient plus que l’esprit qui leur a parlé n’a pas dit tant de choses ; mais elles diraient plutôt qu’il leur est impossible de dire tout ce qu’elles savent. »

     

     

    Lettre de Mélanie à l’Abbé Félicien Bliard, le 26 décembre 1870 rapportée dans le livre Découverte du Secret de La Salette de l’Abbé Laurentin et du Père Corteville – Fayard 2002 – p. 216  Et aussi : L'Encyclopédie Mariale et www.notrehistoireavecmarie.com

    Prions : Je vous salue, Marie pleine de grâce ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amen.

     


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    Notre Dame de La Salette

    Notre-Dame de La Salette est le nom sous lequel les catholiques désignent la Vierge Marie telle qu'elle est apparue à deux enfants (Mélanie Calvat et Maximin Giraud) le 19 septembre 1846 en haut du village de La Salette-Fallavaux, près de Corps, en France, dans le département de l'Isère. Cette apparition mariale, reconnue officiellement par l’Église catholique a entraîné une dévotion à la Vierge Marie sous l'appellation « de La Salette ». Plusieurs églises et sanctuaires de par le monde lui sont consacrés.

    Notre-Dame de La Salette est aussi le vocable sous lequel on désigne le sanctuaire marial qui a été édifié sur les lieux de l'apparition, dans la montagne au-dessus de la commune de Corps (Isère).

    L'apparition

    Le samedi 19 septembre 1846, aux environs de quinze heures, sur une montagne proche du village de La Salette-Fallavaux, deux jeunes bergers, Mélanie Calvat, âgée d'un peu moins de quinze ans, et Maximin Giraud, âgé de onze ans, voient apparaître dans une lumière resplendissante une « belle dame » en pleurs qui s'adresse à eux. Le soir, ils en parlent à leurs maîtres. La veuve Pra (dite veuve Caron), maîtresse de Mélanie, se dit d'avis qu'ils ont vu la Sainte Vierge1 et on engage les enfants à tout raconter au curé de La Salette. Ils le font le lendemain dimanche au matin. Le curé pleure d'émotion, prend des notes et, de nouveau en larmes, parle du fait dans son prône2.  

    Reconnaissance officielle

    L'évêque de Grenoble, Mgr Bruillard, une fois informé des événements, fait ouvrir une enquête canonique. Après conclusion de l'enquête, il publie le 19 septembre 1851 un texte destiné à être lu dans toutes les paroisses du diocèse où il proclame l'authenticité de l'apparition3,4.

    En 1855, Mgr Jacques Ginoulhiac, évêque de Grenoble, après une nouvelle enquête confirme la décision de son prédécesseur4. En 1879 l'église du sanctuaire est officiellement consacrée, et elle est promue au rang de basilique mineure5.

    La Congrégation pour le culte divin publie le 18 mars 2016 un décret inscrivant la célébration de la Vierge Marie sous le titre de « La Salette » dans le propre de France, au 19 septembre, à titre de mémoire facultative6.

    Le message spirituel

    D'après la lecture de l’Église catholique du message de la Vierge Marie rapporté par les enfants, le message spirituel laissé par Notre-Dame de La Salette, est un message d'espérance. L’Église souligne que dans ce message, la Vierge rappelle qu'elle intercède continuellement pour les hommes auprès de son fils, qu'elle compatit aux épreuves de ses enfants et souffre avec eux7. Les paroles de la Vierge montrent également un souci tant spirituel que des biens matériels (la nourriture) de son peuple, et des conséquences de la famine à venir8.

    Dans son invitation à la prière, Marie propose aux enfants le Notre Père et le Je vous salue, Marie8. Les missionnaires de Notre-Dame de la Salette (fondés à la suite des apparitions) ont pour mission « d’approfondir l’étude du message de La Salette et à en montrer la valeur permanente pour le troisième millénaire [...]. Ils sont particulièrement chargés de faire passer au peuple l’appel à renouveler la vie chrétienne »7. L’Église affirme que « le message spirituel donné à La Salette » a donné naissance à « un mouvement de conversion qui a dépassé le canton de Corps et la France, suscitant un renouveau spirituel », qui se poursuit aujourd'hui encore8.

    Notoriété et influence religieuse

    Avant même la construction du sanctuaire, en 1848, l'évêque autorise la création de la confrérie « Notre-Dame-Réconciliatrice », dont la dévotion est liée au message de la Vierge à La Salette9.  

    Le sanctuaire de la Salette

    La première pierre d'une grande église est solennellement posée sur la montagne de La Salette, le 25 mai 1852, devant une grande assemblée de fidèles. Cette église sera plus tard promue au rang de basilique5. Lors de la construction de l'église, une congrégation (les missionnaires de Notre-Dame de la Salette) est instituée afin de desservir le futur sanctuaire10. Depuis sa construction, le sanctuaire n'a cessé d'être agrandi. On dénombre environ 300 000 pèlerins par an dans le sanctuaire, venant de toute la France et de l'étranger11.  

    Les missionnaires de Notre-Dame de la Salette

    Les missionnaires de Notre-Dame de la Salette constituent une congrégation cléricale de droit pontifical. Elle a été créée par Mgr de Bruillard le 1er mai 1852 en même temps qu'il a décidé de construire un sanctuaire marial sur le lieu de l'apparition10. La congrégation s'organise peu à peu autour du sanctuaire, elle est reconnue par le pape Léon XIII en 1879, et ses constitutions sont définitivement approuvées par Pie X en 190912.

    En 1930, naît la congrégation des Sœurs Missionnaires de Notre Dame de La Salette, et en 1962, cette congrégation féminine est officiellement rattachée à la branche masculine des (pères) missionnaires de Notre-Dame de la Salette13. À partir de 2006, l'intégration de laïcs dans l'ordre se structure et s'organise : on parle alors de « laïcs salettins » suivant un programme de rencontres et de formations, dans une « spiritualité salettine »14.

    Cette congrégation, originellement destinée à accueillir les pèlerins dans le sanctuaire de La Salette10, est aujourd'hui présente dans le monde entier, et diffuse le message et la dévotion à Notre-Dame de La Salette. La congrégation est présente sur tous les continents15,16 :

    • Europe : France, Suisse, Italie, République tchèque, Slovaquie, Pologne
    • Afrique : Angola, Madagascar, Algérie
    • Asie : Inde, Philippines
    • Amérique : États-Unis, Canada

    Dans le reste du monde

    Si le sanctuaire de Notre Dame de La Salette est devenu « un lieu de référence » dans le Dauphiné, attirant des pèlerins et touristes du monde entier, il existe aussi de nombreux lieux de culte dans le reste du pays et dans le monde17.

    De grands exemples de sanctuaires ou d'églises dédiées à la Vierge de la Salette existent autour du monde :

     

         

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


     


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  • Seigneur,
    ma journée commence.
    Tu me la donnes gratuitement.
    Je veux la vivre en m’inspirant de Toi,
    en évitant toute critique, toute plainte.
    Donne-moi de Te servir dans les autres.
    Coule en moi Ta paix.
    Que Ton divin Esprit, à la manière de Marie,
    remplisse d’amour mes relations
    d’aujourd’hui.
    Je veux ce que Tu veux, comme Tu le veux,
    quand Tu le veux.


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  • Le rosaire nous réunit comme une seule et grande armée guidée par le Pape

     

    Nous récitons le rosaire en famille tous les jours depuis que ma fille Cécilia a 9 ans. À l’époque, j’étais rédacteur en chef du National Catholic Register(1), et ma fille m’avait glissé un jour : « Papa, dans ton journal, tu parles toujours de l’importance de la récitation du rosaire. Et pourtant cela n’arrive jamais à la maison ! » Aïe… !

     

    Depuis, nous le récitons quotidiennement. Ce fut l’une des meilleures décisions que nous ayons prises. Au fil des ans, nous avons remarqué que la récitation du rosaire en famille resserrait nos liens. Et même quand nous le récitions partiellement, rapidement, avec ennui ou distraitement, nous nous sentons pourtant toujours reconnaissants d’avoir partagé ce moment.

     

    Pourquoi ? Saint Jean-Paul II répond à cette question dans la lettre apostolique Rosarium Virginis Mariae : « Réciter le rosaire devant ses enfants, et mieux encore avec ses enfants, permet de les habituer dès leur plus jeune âge à pratiquer cette pause religieuse en famille. Cela est extrêmement bénéfique pour le développement de leur spiritualité. »

     

    Cette démarche permet de calmer l’agitation de la maison et de se concentrer sur Dieu plutôt que sur soi. Les bienfaits de cette prière familiale sont à la fois psychologiques et émotionnels. Mais il en existe bien d’autres.

     

    Lorsqu’il était évêque, le pape François avait rejoint un groupe qui priait le rosaire avec saint Jean-Paul II : « Je priais au milieu des fidèles. Nous appartenions tous à Dieu. Notre représentant nous guidait. Je sentais que cet homme, choisi pour être à la tête de l’Église, suivait un chemin qui lui était destiné depuis l’enfance. Je compris alors l’importance de Marie dans la vie du Pape. La Sainte Mère était présente à ses côtés à chaque instant et il ne cessait jamais de la chérir. À partir de ce jour, j’ai commencé à réciter les quinze mystères du rosaire chaque jour. »

     

    Le rosaire nous réunit tous autour de Jésus et Marie. Il nous unit, aussi, à tous les croyants du monde, comme si nous n’étions qu’une seule et grande armée guidée par le Pape.

     

     

     

    Tom Hoopes - publié le 28/03/17 aleteia.org (1) Journal catholique canadien  

    Prions : Je vous salue, Marie pleine de grâce ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amen.

     

     


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  • Des bûcherons y furent attirés par les chants célestes de l’Ave Maria

     

     

    © Ketounette - CC BY-AS

     

    La commune française de Rambluzin-et-Benoite-Vaux se trouve dans le département de la Meuse, au nord-est de la France. La tradition veut qu’en ce lieu appelé autrefois « Martin-Han » (« la maison de Martin »), des bûcherons furent attirés par les chants célestes de l’Ave Maria… Ils découvrirent sur place une statue de la Vierge Mère, au pied d’un chêne déraciné. 

    Émerveillés, ils décidèrent de lui élever un oratoire, dont un ermite eut la garde. Avec l’affluence des pèlerins, un lieu de culte plus important fut nécessaire. Une église fut construite sous le vocable de « l'Annonciation de la Vierge », et confiée aux Prémontrés vers 1140. 

    Le nom de Benoîte-Vaux (« la Vallée Bénie ») apparaît ainsi pour la première fois en 1180 sur une bulle pontificale. Ce document confirme la donation en terres et en bois par l’évêque de Verdun (Meuse), Albéron de Chiny, à la jeune communauté de Prémontrés (ordre canonial catholique fondé par saint Norbert de Xanten au début du XIIe siècle), issue de l’Abbaye de l’Étanche.  

    Le pèlerinage, qui attire encore de nombreux fidèles, a lieu chaque année la première semaine de septembre, avec, le 9 septembre, la fête de Benoîte-Vaux.

     

    Adapté de  Sœur Sheeba Keenanchery Notre Histoire avec Marie

    Prions : Je vous salue, Marie pleine de grâce ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amen.

     


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  • Le saint nom de Marie

    mémoire

     

    Célébrée à partir de 1513 en Espagne, cette fête fut étendue à l'Église universelle en 1684 en reconnaissance de la victoire de Vienne contre les Turcs.
    Saint nom de Marie«Marchons avec confiance sous la protection du Ciel et avec l'assistance de la Très Sainte Vierge.»
    «Votre nom, ô Marie, dit
    saint Ambroise, est un baume délicieux qui répand l'odeur de la grâce!» - Mais surtout le nom de Marie est un nom de salut. Saint Éphrem l'appelle la Clef du Ciel. «Le nom seul de Marie, dit saint Bernard, met en fuite tous les démons...» Ce n'est là qu'un faible écho de l'apologie du nom de Marie faite par les Saints.
    Abbé L. Jaud, Vie des Saints pour tous les jours de l'année, Tours, Mame, 1950.
    (source:
    Paroisse Vallée de l'Aisne)
    Mémoire du saint Nom de Marie. Le Seigneur Dieu l'a bénie entre toutes les femmes et a exalté si haut son nom que sa louange ne s'effacera jamais de la bouche des fidèles.

     

    Martyrologe romain

     


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  • Les grands fruits de notre consécration à Marie

     

     

     

     

    Quiconque s'est consacré à Marie lui appartient de façon spéciale. Il est devenu comme un sanctuaire de la Très Sainte Vierge.

    L'image de Marie l'aide à écarter avec énergie toute pensée mauvaise. L'amour de Marie lui donne le courage d'entreprendre de grandes choses, de vaincre le respect humain, de secouer l'égoïsme, de servir et d'obéir patiemment. Le regard fixé intérieurement sur elle, il s'affectionne à la pureté, à l'humanité, à la charité, dont l'âme de la Vierge était rayonnante. Il prend en haine le péché, il le combat en lui-même et lui fait la guerre de toutes ses forces.

    Quand il voit l'Immaculée fouler au pied le serpent infernal, quand il contemple la Mère de Dieu qui élève son divin Fils, sa volonté ne peut plus avoir aucune complaisance pour le mal : au contraire, il est fier d'appartenir à Jésus et à Marie, il sait que Marie le presse de faire tout ce que Jésus commande ou désire.

    Pape Pie XII (1876-1958) Extrait de  « Les fruits de la consécration » - 17.7.1954 Message radio du pape Pie XII aux fidèles de Bretagne (France) réunis au sanctuaire de Sainte-Anne d'Auray www.vatican.va    

    Prions : Je vous salue, Marie pleine de grâce ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amen.

     


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  • « Pour comprendre à quel point est urgent le défi que nous avons devant nous, nous devons mettre l’accent sur l’éducation qui ouvre l’esprit et les coeurs à une compréhension plus large et plus profonde de la réalité. » Dans un appel solennel au monde entier, le pape François a invité tous les hommes de bonne volonté à reconstruire « un pacte éducatif mondial ». Lancé en 2019, cet appel part du constat que l’Humanité est sur le point de vivre un changement d`époque inédit dans son histoire. Eclairé par les propos d’intervenants comme François Moog, professeur de théologie à l’Institut Catholique de Paris ou Jérôme Brunet, ancien chef d’établissement et coach, ce film se fait l’écho (fait le tour) d’initiatives dans les différentes écoles catholiques, et révèlent le dynamisme de la proposition pédagogique chrétienne dans ce monde en mutation. L’Éducation catholique, un défi pour le monde - UNE COPRODUCTION KTO/GRAND ANGLE 2022 - Réalisée par Catherine Derenne (52’)


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