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  • 20 octobre – Portugal : Consécration du Portugal à Notre Dame de l’Immaculée Conception (1646)
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    Les noces de Cana, peinture attribuée à Cornelis de Baellieur
    Les noces de Cana ou la confiance en Marie
    Aujourd’hui jeudi, jour des mystères lumineux, méditons le 2e mystère lumineux (Jn 2, 1-5) : les noces de Cana, dont le fruit est la confiance en Marie : À Cana, le Christ a changé l’eau en vin, provoquant une surabondance de joie. Ce miracle préfigurait l’institution du sacrement de l’Eucharistie au soir du Jeudi Saint et ouvrait le cœur de ses disciples à la foi. Ce fut grâce à l’intervention de Marie, première des croyantes. Marie nous dit aussi à nous, ses enfants : « Faites tout ce qu'il vous dira. » La Très Sainte Vierge mesure pleinement chacun des manques qui obscurcissent nos vies ; si nous lui abandonnons tout notre être, elle saura nous aider à comprendre la volonté de Jésus pour nous. Ce premier signe eut lieu au cours d’un festin de noces, ce qui nous rappelle l’immense richesse de la famille et du mariage. Écoutons dans notre cœur Marie, elle qui possède les clés pour nous conduire à Jésus. Elle qui a su se préoccuper des soucis et de la joie de ceux qui étaient réunis pour une noce. Prions-la pour qu’elle soit la Reine de notre famille. Seigneur, vous qui avez exaucé le désir de votre Mère à Cana, permettez que nous comprenions combien il est important de confier nos vies à Marie pour que celles-ci, sous son impulsion et fortifiées par son exemple, soient pleinement fécondes !  

    Méditation proposée par la confrérie Notre Dame de France

     

    Prions :
    Je vous salue, Marie pleine de grâce ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort.
    Amen.

     


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  • 19 octobre – Canada : Couronnement d’une statue de Fatima par l’Archevêque d’Ottawa qui commence un pèlerinage de 50 jours dans 7 diocèses (1947)
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    Demandons à Marie d’affermir notre espérance
    Aujourd’hui mercredi, jour des mystères glorieux, méditons le 2e mystère glorieux : l’Ascension, dont le fruit est l’espérance. Comme le rapportent saint Luc et le Livre des Actes, quarante jours après sa Résurrection, notre Seigneur Jésus-Christ est monté au Ciel. « C’est dans le Ciel même qu’il a pénétré pour paraître maintenant en notre faveur devant la face de Dieu » (Hb 9, 24). Le Christ se tient constamment devant la Face de son Père, non seulement parce qu’il est le Fils de Dieu, égal au Père, mais il use aussi de ce droit pour nous. En effet, l’Ascension est l’un des mystères essentiels au salut, auquel nous sommes tous appelés à participer. Le Christ Jésus est au Ciel, à la droite de son Père, comme notre représentant, notre pontife, notre médiateur. Il présente pour nous au Père ses mérites et il communique sans cesse à nos âmes, afin de les sanctifier, le fruit de tous ses mystères : « Toujours vivant pour intercéder en notre faveur » (Hb 7, 25). C’est là un profond motif d’espérance. Demandons à Notre Dame d’affermir cette espérance, cette confiance de savoir que le Christ est toujours vivant, toujours intercédant pour nous, et demandons-lui aussi de nous faire désirer ardemment le Ciel où le Christ nous attend et nous attire : « Si vous êtes ressuscités avec le Christ, recherchez les choses d’en haut, où le Christ est assis à la droite de Dieu ; prenez goût aux choses d’en haut » (Col 3, 1-2). Par la grâce  de notre baptême, que nous habitions vraiment en esprit dans les Cieux !

    Méditation proposée par un moine de l’abbaye de Fontgombault

     

    Prions :
    Je vous salue, Marie pleine de grâce ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort.
    Amen.
     

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  • 18 octobre – Saint Luc, Évangéliste – Allemagne : Fondation de Schönstatt par le P. Joseph Kentenich (1914)
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    Le grand essor du rosaire, avec les Dominicains
    La dévotion du rosaire, déjà en usage chez les Cisterciens dès le XIIe s., s’est développée sous l’influence des Dominicains, à partir du XIIIe s et jusqu’au XVe siècle. Selon la tradition, saint Dominique de Guzmán, le fondateur de l’ordre des Dominicains, reçut de la Vierge Marie, au cours de plusieurs apparitions, le rosaire comme un présent pour convertir les pécheurs. Il demanda ainsi à ses religieux de porter un chapelet à leur ceinture. De nombreuses représentations artistiques mettent ainsi en scène la Vierge Marie confiant le rosaire à saint Dominique. L’essor de la piété mariale fut également lié à la grande peste de 1349, et c'est au siècle suivant que cette prière prit le nom de rosaire. Le nom de « rosaire », issu du latin médiéval rosarium, désigne une guirlande de roses dont on couronnait la Vierge Marie, la rose étant un symbole marial. Au XVe s, le chartreux Dominique de Prusse inventa et proposa aux fidèles une forme de psautier marial dans laquelle il n'y avait que 50 Je vous salue Marie, chacun suivi d'une « clausule ». Les clausules sont de petits ajouts à la prière du Je vous salue Marie, qui suivent le nom de Jésus et aident à la méditation du mystère en cours. Le double principe du rosaire unissant la Vierge Marie et le Christ est ainsi approfondi. Le dominicain Alain de la Roche (1428-1478), véritable apôtre du rosaire, fit un grand travail de promotion du Psautier marial, par sa prédication et par les confréries du rosaire qu'il fonda, et qui eurent un immense succès jusqu’en Italie et dans toute l’Europe occidentale. C’est à cette époque que le nom de « Chapelet de la Bienheureuse Vierge Marie » commença à être employé. Un peu plus tard, le dominicain Alberto Castellano (1450-1523) simplifia le rosaire ; il choisit 15 passages évangéliques pour la méditation, et ajouta la courte prière de la fin de l’Ave Maria.  

    Isabelle Rolland

    Dans le livret Le rosaire présent du Ciel et chemin de sainteté

     

    Prions :
    Je vous salue, Marie pleine de grâce ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort.
    Amen.

     


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  • 17 octobre – Saint Maximilien Kolbe fonde la Milice de l’Immaculée à Rome (1917)
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    « Il n'y a pas de prière qui soit plus agréable à Dieu »
    « Par le rosaire, on peut tout obtenir. Selon une gracieuse comparaison, c'est une longue chaîne qui relie le Ciel à la terre, une des extrémités est entre nos mains, et l'autre dans celles de la Sainte Vierge. Tant que le rosaire sera récité, Dieu ne pourra abandonner le monde, car cette prière est puissante sur son cœur. Elle est comme le levain qui peut régénérer la terre. La douce Reine du Ciel ne peut oublier ses enfants qui, sans cesse, répètent ses louanges. Le rosaire monte comme l'encens au pied du trône du Tout-Puissant. Marie le renvoie ensuite comme la rosée bienfaisante, qui vient régénérer les cœurs. Il n'y a pas de prière qui soit plus agréable à Dieu que le Rosaire. Aussi l'Église nous invite-t-elle à aller le réciter chaque soir, en ce mois d'octobre, devant Jésus, réellement présent et exposé sur l'autel. Le mois d'octobre est arrivé; avec lui l'Église appelle ses enfants pour qu'ils récitent en commun les belles prières du rosaire. Qui pourrait redire combien ce mois a de charmes pour toute âme chrétienne ? À ce moment où la nature fatiguée va s'endormir, les cœurs semblent reprendre une nouvelle énergie pour célébrer les louanges de la Reine du Ciel. »  

    Ste Thérèse de l'Enfant-Jésus - 1887

    https:// livres-mystiques.com

    Prions :
    Je vous salue, Marie pleine de grâce ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort.
    Amen.

     


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  • 16 octobre – Ste Marguerite-Marie Alacoque († 1690)
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    ©La Troménie de Marie La Vierge Marie et Jésus couronnés de fleurs.
    Le chapelet fut d’abord appelé « psautier de Notre Dame »
    Dès les premiers siècles, les Pères du désert, plongés volontairement en un « désert du langage », pratiquaient une forme de prière répétitive.Ils enfilaient des cailloux sur un cordon pour guider le rythme et le nombre des récitations de passages bibliques. Des « cordes de prières » se sont plus tard formées à partir de la récitation du Notre Père, d’où le premier nom connu du chapelet en Occident : le « paternostre ». En effet, dans les monastères cisterciens, les frères convers récitaient souvent des Notre Père pendant que les frères moines, eux, psalmodiaient les psaumes. Ils avaient l’habitude de faire des nœuds sur la corde qu’ils portaient autour de la taille. C’est au XIIe s, au moment du grand essor de la dévotion mariale, avec l’influence de saint Bernard de Clairvaux, qu’apparut le mot de « chapelet », qui désignait la couronne de fleurs ou « chapel » (petit chapeau) que l’on plaçait sur la tête de la statue de la Vierge Marie. Aux Notre Père furent bientôt ajoutés les mots prononcés par l’Archange Gabriel lors de l’Annonciation : cette prière prit le nom de « Psautier de Notre-Dame ». Les paroles de la salutation d’Élisabeth furent ajoutées plus tard.  

    Isabelle Rolland

    Dans le livret Le rosaire présent du Ciel et chemin de sainteté

     

    Prions :
    Je vous salue, Marie pleine de grâce ; le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort.
    Amen.

     


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  • Le premier « cyber-apôtre » ?

    Ce jeune homme était habité d'une grande dévotion pour la Vierge Marie, et passionné par la diffusion de la Bonne Nouvelle via les nouvelles technologies. Très bon en gestion et en programmation, Carlo s'évertuait à mettre cette passion et ce talent au service des autres. Il créait sites Internet, programmes, pages web avec une grande facilité. Sa grande passion était de monter des expositions par ordinateur, qui étaient ensuite diffusées sur Internet. L'une d'elles, de très bonne facture et dédiée aux miracles eucharistiques, fut diffusée dans le monde entier.

    « Nous sommes faits pour nos prochains, pas pour nous-même ! »

     

     

     

     

     


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