• « Ce n’est pas Ménélick qui m’a libéré, mais Notre Dame Marie »

    19 avril – Italie : Notre Dame de la Campagne ou Notre Dame de la Paix (Véronne, 1559) : cette basilique a été édifiée en mémoire des traités de paix du Cateau-Cambrésis, signés les 2 et 3 avril 1559. Ils mirent un terme à la onzième guerre d'Italie, entr
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    © Shutterstock/Billion Photos
    « Ce n’est pas Ménélick qui m’a libéré, mais Notre Dame Marie »

     

    Selon la tradition populaire éthiopienne, l’empire du Négus (roi d’Abyssinie, du Royaume d'Aksoum) aurait été offert par le Christ à sa Mère comme la dîme de l’univers. Et chaque Abyssin se sent particulièrement enfant de Marie.

    Ainsi, quelques temps après le désastre d’Adoua qu’il avait infligé aux Italiens en 1896, le négus Ménélick, roi d’Éthiopie, reçut d’Italie cette lettre : « Je suis une pauvre mère italienne dont vous retenez le fils prisonnier. O grand Empereur, ayez pitié d’une malheureuse femme et rendez-lui son enfant. Je vous le demande au nom de la Madone ! »

    A peine eut-il achevé la lecture, que Ménélick fit venir le soldat en question et lui dit : « Je te rends ta liberté. Mais tu diras bien à ta mère : ce n’est pas Ménélick qui m’a libéré, mais Notre Dame Marie. C’est que, vois-tu, Marie est vraiment ma mère, et quand ma mère a dit oui, je ne puis plus dire non. Va, et que Notre Dame te protège ! »

     

    Encyclopédie Maria tome V

    Beauchesne 1956 – p.36

     

    « Marie lui déclara : « tu dois parler au monde de Sa miséricorde »Marie, l'Étoile polaire qui permit la découverte des Amériques »

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